Ne téléphonez pas au SAMU ou à un autre service, même si la situation est propice à ce genre d'acte, je n'envisage pas de mettre fin à mes jours!!!
Quand on subit des évènements aussi complexes, l'individu a tendance, dans un premier temps, à vouloir se révolter et crier à l'injustice.
Après le temps de la colère, un deuxième stade prendra place, celui de la réflexion. Nous n'avons pas tous les mêmes capacités d'analyse ni les mêmes outils de renseignements pour arriver à comprendre et à se défendre utilement.
Pour ma part, sans prétention aucune, j'ai un QI estimé à 136, j'ai la chance de pouvoir me servir d'internet et l'aptitude vis à vis de mon cursus scolaire pour comprendre modestement les propos juridiques.
Dans toutes les procédures où l'on m'a mis, j'ai essayer de faire valoir mes droits et ceux de mes proches, tant sur le plan civil, pénal que le droit des enfants.
Je pense avoir fait de mon mieux et avoir monté des dossiers complets s'appuyant sur des articles de loi, des jurisprudence mais aussi et surtout en m'appuyant sur des faits dont j'avais les preuves matérielles.
Malgré tout cela, la justice m'a écouté mais pas entendu. Nous devons être nombreux dans ce cas sinon les tribunaux ne seraient pas encombrés inutilement.
Je parle de dernier recours car pour les employés de France Telecom ou de Renault par exemple, ils ont été entendus post mortem.
Le premier réflexe en matière de suicide c'est de dire que cet un acte de lâcheté. Il l'est sûrement dans certain cas. Mais il peut également être un acte de désespoir maîtrisé que la personne pourra justifier comme un ultime sacrifice pour les siens.
Pour cette affirmation, je n'en ai bien sur pas la preuve mais il suffirait d'interroger les familles des victimes pour savoir si le suicide a résolu une partie de leurs problèmes financiers, personnels mis à part la souffrance d'avoir perdu un membre honorable de la famille qui a une valeur inestimable.
Un sujet à méditer et à approfondire, je compte sur vos commentaires en la matière.