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  • : LE COMBAT POUR MES ENFANTS
  • : Le parcours semé d'obstacles d'un homme contre la machine judiciaire et pour laver l'honneur de ses enfants
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Initialement prévu pour dévoiler les dysfonctionnements judiciaires dont j'ai été la victime, ce blog a rapidement pris une autre orientation.


En effet, en deux ans et demi, j'ai réussi à me sortir d'une situation plus que délicate. J'ai injustement été interné en hôpital psychiatrique pendant 33 jours, j'ai perdu mes droits de "garde" concernant ma fille aînée et depuis je me bats pour que la vérité prenne enfin le dessus.

 

Avant d'arriver à mes derniers résultats positifs, j'ai malheureusement du essuyer plusieurs revers face aux magistrats. Mais grâce à ça, j'ai pris le temps et énormément de recul pour assurer moi même ma défense.

 

Il m' a fallu beaucoup de patience pour comprendre le système judiciaire en matière familiale et de parfaire mes connaissances sur ce sujet.

 

Maintenant, je désire mettre à profit mon parcours chaotique pour venir en aide aux parents qui se sentent démunis face à l'appareil judiciaire afin qu'ils ne soient plus dépouillés de leurs droits sans se défendre convenablement.

 

Je ne souhaite pas me mettre en porte à faux avec vos avocats mais, là aussi, je me suis rendu compte que ceux ci sont trop impliqués dans le système pour assurer une défense efficace.

 

Si vous regardez plus attentivement certains de mes articles, vous ne pourrez que remarquer mon passif très lourd et pourtant j'ai réussi à sortir la tête de l'eau et j'espère, dans un avenir proche, me réattribuer les droits que l'on m'a retirés injustement.

 

C'est l'illustration que rien n'est jamais perdu et que si l'on est bien accompagné, on peut se battre à armes égales mais pour ce faire, il faut accepter d'aller sur leur terrain judiciaire.




Pour une meilleure compréhension, il faut lire les articles "historique" et celui du 25 janvier 2012.

 

Vous pouvez aussi me rejoindre sur facebook: antz christophe


Petition

31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 12:53

Je viens de recevoir l'arrêt concernant ma demande d'acte de récusation du juge des enfants que je vous livre en intégralité. Mes commentaires seront ci dessous.

Arrêt cour appel récusation 1

 

Arret-cour-appel-recusation-2.jpg

 

Arret-cour-appel-recusation-3.jpg

 

Arret-cour-appel-recusation-4.jpg

 

Arret-cour-appel-recusation-5.jpg

 

Je reviendrai que birèvement sur ce document mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la réelle portée des recours juridiques en France.

 

On notera tout dabord l'absence du contradictoire dans la procédure sachant que je n'ai été avisé ni de la réponse du juge des enfants ni du rapport du Ministère public.

 

Deuxième chose assez marquante, c'est que le juge des enfants se limite à dire que ma demande de récusation ne rentre pas dans un cas de l'article L111-6 du code de l'organisation judiciaire par le biais de l'article 341 du code de procédure civile ce qui va à contre courant de l'article 6 1 de la Convention Européenne de savegarde des droits de l'Homme et par un article de la Cour de cassation.

 

Je tiens à préciser que l'alinéa 8 de l'article L111-6 dit:

 

"Sous réserve de dispositions particulières à certaines juridictions, la récusation d'un juge peut être demandée :

 

8° S'il y a amitié ou inimitié notoire entre le juge et l'une des parties.

Les magistrats du ministère public, partie jointe, peuvent être récusés dans les mêmes cas."

 

Troisièment et cela concerne directement la Cour d'Appel, je suis assez surpris des affirmations qu'elle profère :

 

"Attendu au fond, que Mr ANTZ ne fonde pas sa requête sur les dispositions spécifiques du code procédure civile mais son l'angle d'impartialité objective".

 

Cette interprétation des plus arbitraires va forcément conditionner les conclusions de la cour. Il est quand même assez dommage que la cour n'ait pas pris en compte mes nombreux arguments concernant les textes de loi non appliqués.

 

"Attendu, sur ce plan, qu'il sera relevé, dès l'abord, que nesauraient être reprochées au magistrat les conditions initiales da la saisine de la juridiction pour enfants, alors que la procédure a été lancée sous l'égide de son prédécesseur et qu'il ne lui appartenait pas, à priori, de remettre en question les termes de l'ordonnance du 11 juin 2010, qui n'avait pour but que d'instruire ce dossier."

 

En substance cela veut dire qu'on ne sait pas trop si le juge avait raison ou tort mais si vous coulez contester vous pourrez toujours aller en Cassation.

 

Après la cour va justifier sa décision en invoquant le fait que toutes les décisions ont été prises dans le même sens, donc contre moi, et que même la juridiction d'appel les avait validées.

 

La cour évoque ensuite que dans les décisions du juge la mère n'avait pas été épargné et par ce fait le juge avait été impartial. C'est un peu vaseux comme raisonnement surtout quand on se fie au fait que la mère a bénéficié de toutes les décisions du juge même s'il avait beaucoup de choses à lui repprocher.

 

Point d'orgue de cet arrêt:

 

"nonobstant une formultion maladroite dans l'ordonnance du 27 juin 2011, concernant l'exercice par Mr ANTZ de son droit d'appel, inspirée manifestement par le souci du jugede décrire les contradictions de M.ANTZ dans la procédure."

 

Quelle bien belle formule pour disculper le juge et de lui trouver des excuses!!!!

 

En conclusion, si les juges de première et deuxième instance vous condamnent même sans fondement légal, vous n'avez plus qu'une possibilité c'est de se pourvoir en Cassation et mettre la main au porte monnaie car un avocat près la Cassation c'est environ 3000 euros.

 

En gros, ils n'ont pas obligation de se conformer à la loi et même si la Cour de Cassation leurs donne tort, cela ne changera rien du tout, ils continueront comme bon leurs semble.

 

Ma pensée personnelle ira vers le fait qu'une réforme en profondeur de la Justice est nécessaire afin que le terme de "justice" puisse retrouver son sens propre......car les lois ne vous protégent pas, il vaut mieux être faible et stupide pour inspirer la compassion des magistrats même en étant délinquant que d'être droit, honnête et au fait des lois!!!!!

 

 

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 11:40

Je me suis rendu ce matin à l'audience du juge des enfants. Je m'attendais au pire sachant que ma demande de récusation de ce juge avait été rejetée car non fondée. Au contraire, j'ai été très surpris par le déroulement.

Ce fut très agréable de participer en toute sérennité avec des réels échanges et surtout l'absence totale de menaces comme ce fut le cas lors des audiences précedentes.

Bien sur, il ne sortira pas grand chose en ma faveur mais j'ai été ravi de cette amélioration par le seul fait qu'il y avait une greffière pendant l'audience. Cela évitera au moins tout défaut d'interprétation de mes termes.

Néanmoins, je déplore encore qu'il ne m'ait pas été répondu clairement sur les erreurs commises depuis l'ouverture de la procédure surtout quand à sa saisine mais je me suis réjoui d'entendre le juge évoqué le fait qu'un juge pouvait se tromper même s'il ne parlait pas de son cas personnel.

J'ai également pu apprécier que je n'ai pas été attaqué sur mes démarches procédurières et que le juge a constaté que j'étais féru de la législation. 

Cette démarche assez inattendue, je l'avoue, sera peut être bénéficiaire pour d'autres parents dans le même cas. J'espère surtout que la mise en cause du juge modifiera son comportement à l'avenir et que ce n'était pas juste une apparence de façade sachant qu'il devrait en toute logique se déssaisir du dossier pour le confier au juge des enfants de Saverne. 

Ce dessissement lui offre une porte de sortie honorable d'autant plus qu'elle est justifiée du fait de la compétence territoriale mais on pourra se poser la question suivante:

Pourquoi n'a t il pas eu lieu en octobre 2010 après mon déménagement dans la juridiction de Saverne?

Je continue à espérer que notre situation s'améliore et que les droits de chacun soient enfin respectées mais j'espère avant tout que la situation dans les bureaux des juges soient plus en rapport avec les exigences des lois et notamment celle du 5 mars 2007 réformant la protection de l'enfance.

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 13:24

Depuis que ma vie a été confrontée à la Justice de ce pays, je me pose énormément de questions et ma réflexion est discontinue.

J'aimerais avoir un débat avec vous sur nos institutions et en particulier sur la questions suivante:

"L'indépendance de la Justice n'est elle pas le premier frein a une justice juste?"

Avant d'entrer dans le vif du sujet, je souhaite faire un petit préambule bien nécessaire afin que cette discusion soit productive. Je souhaiterais effectivement que le débat ne se porte pas exclusivement sur la justice pénale qui est malheureusement devenue la vitrine que nous impose les médias et les ténors du barreaux.

Beaucoup plus de nos concitoyens sont confrontés à la justice familiale, à la justice commerciale ou encore prud'homales. Or en la matière, la législation ne bouge guère et la diffusion médiatique ne se fait que pas le biais de drames horribles qui finissent au pénal mais dont la source est souvent bien éloignée.

Par mon expérience, j'ai pu constater beaucoup de sujets qui mériteraient d'être évoqués.

1. L'arbitraire

La notion est prépondérante quand il s'agit de synthétiser les actes des magistrats et pourtant l'arbitraire est  des causes d'injustice.

Tout démarre souvent quand un dossier est déposé chez le procureur, il a le pouvoir d'engager ou non l'action publique. Je donne souvent le même exemple mais il est caractéristique de l'importance du sentiment  détriment des lois elles-même. Je veux bien sur parler des non-présentations d'enfant qui  classées sans suite alors que selon la législation en vigueur, elles correspondent à des délits.

Pourquoi ne pas alors classer sans suite les infractions au code de la route?

Dans un deuxième temps, les magistrats conscients qu'ils ne possèdent pas la science infuse, ordonnent à tout va, des enquêtes et des expertises dans l'espoir de trouver la vérité. Mais, surtout en matière familiale, ces enquêtes et expertises se substituent aux preuves ou aux faits. Or ces enquêtes et expertises ne résultent que d'études qui émanent d'une réflexion personnelle de personnes humaines dont le domaine ne relève de la science exacte.

L'affaire d'Outreau avait fait réagir le législateur mais au vu de ce qui se passe devant les juges aux affaires familiales, la leçon n'a pas été retenue.

Une couche d'arbitraire sur de l'arbitraire est sûrement le principal vecteur du sentiment d'injustice.

2. Les recours

Il existe un large éventail de recours et qui plus est à chaque niveau mais parce qu'il y a un mais, à chaque recours correspond son frein pour faire valoir son opinion.

Contre un classement sans suite, on peut déposer plainte en se constituant partie civile ou faire un citation directe. Le seul petit bémol c'est qu'à ces deux actions, on vous demandera de vous acquitter d'une consignation dont le montant est fixé de façon arbitraire.

Cette consignation qui a été crée pour éviter les remises en question récurrentes du premier magistrat en charge du dossier, n'est sensé servir que d'une garantie de paiement d'une amende si le justiciable avait abusé de son droit.

Alors je me pose la question suivante: pourquoi fixer une consignation pour une plainte avec constitution de partie civile pour une non-présentation d'enfant alors que les faits sont avérés et qu'ils existent des témoins impartiaux?

Le deuxième frein est la durée parfois excessive des procédures qui mettent à mal la patience, l'énergie et surtout la capacité des justiciables qui finalement préfèrent baisser les bras devant tant d'obstacles à surmonter.

Mais finalement le recours n'est il pas considéré comme une remise en cause d'un jugement par les magistrats qui se sentent alors "blessés" dans leurs amours propres et leur intégrité?

3. Le contre-pouvoir

On peut dors et déjà exclure le Ministère de la Justice qui ne peut agir du fait de l'indépendance de la Justice. Pour illustrer cette vérité, il suffit de constater les manifestations des syndicats de magistrats quand l'exécutif ose pointer du doigt des erreurs commises et qui ont conduit à des drames.

Après, on peut toujours évoqué l'existence du Défenseur des Droits mais sa création résultant la fusion de plusieurs organismes a sûrement du nuire à son efficacité.

Je reprends mon cas personnel, malgré de nombreux éléments troublants, je n'ai jamais été auditionné et un simple courrier a mis fin à ma démarche. Je déplore surtout que cet organisme n'est pas pris en compte toutes mes revendications mais surtout qu'aucun argument légal n'ait été mis en avant pour répondre à mes attentes.

La dernière institution qui pourrait interagir est le Conseil Supérieur de la Magistrature. Dans mon cas, je n'ai même pas eu la chance d'avoir une réponse fusse t elle négative.

On peut, sans faire offense à cette institution, la comparer à l'Ordre des Médecins qui fera tout pour éviter qu'un des leurs soit remis en cause.

Seuls les drames violents ont écho et les obligent à réprimander les fautis. Ce qui me donne l'impression que le seul et réel contre pouvoir à la Justice ceux sont les médias. Difficile de constater cet état de fait et surtout difficile de l'accepter car les critères qui engagent l'action médiatique relèvent surtout du pénal alors qu'ils existent presque autant de drames familiaux que d'enfants qui les subissent.

4. Les exemples

Les quelques évènements que je vais reprendre ne sont qu'une partie infime des tragédies que des familles ont subies.

- l'erreur commise par le magistrat qui s'est retranché derrière l'avis d'un expert qui s'était exprimé sur l'impossibilité d'un nouveau passage à l'acte d'un violeur qui a été remis dans un établissement scolaire pendant l'instruction de son jugement pour viol. Il ne lui a fallu que quelques jours pour violer et tuer une jeune victime qui n'avait rien demandé à part le fait de vivre.

- l'erreur commise par les intervenants concernant ce petit garçon qui a été tué dans une machine à laver par son père. Pourtant les services sociaux et les magistrats auraient sûrement du intervenir quand il a été question que ce bambin de trois ans s'était retrouvé en train de se promener sur les toits d'un immeuble. D'autant plus, que cette famille était suivie depuis plusieurs années.

- Pour finir, j'illustre mes propos concernant les médias en évoquant cette grève de la faim du petit fils du maire de Vence qui l'avait accusé de violences sexuelles et qui s'est rétracté récemment. Ce grand père fut dans un premier temps relâché puis réincarcérer car le Parquet avait fait appel pour être finalement relâché sous la pression des médias.

J'attends vos commentaires

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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 10:04

Convoqué à l'audience JAF le 16 mai 2012, après 1h30 d'attente, la juge nous annonce qu'elle reporte l'audience car elle n'a pas eu communication du dossier par le juge des enfants.

Dans ce genre de situation, ne serait il pas plus simple d'envoyer une nouvelle convocation au lieu de nous faire perdre une demi-journée?

Il y a vraiment des économies financières et de temps à faire dans ce domaine et surtout pour les justiciables.

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 16:51

Comme vous le trouverez ci dessous, j'ai reçu l'ordonnance fixant consignation pour la procédure de privation de liberté dont j'ai été victime.

Cette procédure, parallèle à l'assignation en civil, est un tournant important dans le rétablissement de la vérité.

Malheureusement, je ne dispose pas des 1500 euros qu'on me réclame pour faire démarrer une instruction.

Ce n'est pas dans mon tempérament de demander de l'aide, surtout financière, mais je dois m'y résoudre afin que mon dossier puisse avancer.

Je compte donc sur votre générosité et votre solidarité et je m'engage au remboursement intégral des sommes que vous voudrez bien me donner en cas de dénouement final en ma faveur.

Je ne souhaite pas vous mettre dans l'embarras et donc je ne souhaite pas que des personnes déjà en difficulté fasse cet effort car ils doivent avant tout penser à leur situation personnelle.

Je vous laisse mon adresse mail où ceux qui le souhaite pourront me contacter pour avoir mon rib ou mon adresse pour faire un don sous la forme de l'anonymat.

antz.chris@gmail.com

Merci d'avance et sachez que je fais de mon combat personnel un combat d'intérêt public.

Ordonnance

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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 16:16

Finalement, je ne sais vraiment pas ce que j'attendais de cet entretien dont j'avais pris l'initiative.

Des réponses peut être, des excuses et finalement je n'ai eu que du vide.

Désireux de comprendre ce qui s'était passé pendant ces 18 mois d'assistance éducative en milieu ouvert, je me rends compte que les lois ne concernent personne et que mêmes les acteurs, qui devraient les respecter, trouvent toujours des excuses pour se défendre.

Je me suis référé à la loi du 5 mars 2007, au guide émanant du Ministère de la Santé et des Familles et un bulletin officiel du Ministère de la Justice et des Libertés, j'ai posé la question basique suivante:

Qu'en est il du projet qui devait être à l'origine de la mesure?

Après tergiversations en tout genre, ces messieurs me disent que le projet a du être fait au Conseil Général.

Malheureusement, je n'en ai pas entendu parlé.

Quand j'ai énuméré les obligations légales la réponse fut encore plus déconcertante:

Ca ne se pratique pas dans le Bas-Rhin!!

J'avoue franchement que je ne sais plus quoi penser. Les lois ne sont elles pas faites pour être respectées et appliquées de la même façon sur tout notre territoire?

J'ai vraiment la certitude dorénavant que je bénéficie d'une régime de faveur.

A la question:

N'avez vous pas le sentiment que la mesure a mis notre fille, d'une situation "potentielle de danger" dans une autre situation de danger car l'exercice de l'autorité parentale n'est pas partagée?

Réponse: Monsieur c'est à vous de faire en sorte que celle ci soit partagée.

Au final, j'ai quand même réussi à leurs faire dire la substance du projet dont je livre les termes:

Le juge nous a donné comme mission de "voir comment faire pour aller vers là où on va"!!!

Comme conclusion, les travailleurs sociaux se sont étonnés que nous aillons pas parlé de Marine. Mais je leurs ai rappelé que tel n'était pas la démarche de ma demande d'entretien. Et qu'ils voulaient effectivement me donner des nouvelles de notre fille, je ne comprenais pas pourquoi je n'avais vu aucun d'entre eux depuis 9 mois.

Avant leurs départs, je les ai informés que j'avais pris la précaution d'enregistrer notre conversation n'ayant pas trouvé le concours d'un témoin assermenté. Ils se sont empressés de me faire comprendre qu'ils ne pouvaient pas passer sous silence mon comportement. Je leurs fais confiance car pour "pondre" des rapports contre moi, ils sont champions.

En 2010, je représentais un danger pour Marine car j'avais une relation fusionnelle et en 2012 je représente un danger car je suis procédurier. Décidemment, en tant que papa qui souhaite aimer et protéger les intérêts de mes enfants, j'ai toujours tout faux.

J'ai le tort d'avoir raison ou ai je raison d'avoir tort?

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 14:58

 

Je me réfère directement au bulletin officiel du Ministère de la Justice et des Libertés du 6 mai 2010 (http://www.textes.justice.gouv.fr/art_pix/JUSF1015443C.pdf)

 Je vous livre quelques extraits intéressants :

 Fiche 1

 « La saisine directe du procureur ou du juge des enfants est possible. La loi limite toutefois l’intervention judiciaire aux situations les plus graves. »

 « ..l’intervention judiciaire suppose le déploiement d’une procédure contradictoire,…,pour ne pas faire durer plus que de nécessaire l’atteintes aux libertés individuelles qu’elle constitue. »

 « En conséquence, deux options s’offrent au procureur à la lecture d’un signalement :

 -          Le renvoi aux services du conseil général si les éléments sont insuffisants au regard des articles 375 du code civil et de l’article L226-4 du CASF. Dans ce il s’agit bien d’une renvoi pour compétence.

La saisine du juge des enfants qui, après audition, a l’opportunité d’ordonner si nécessaire une mesure d’investigation, telle que l’enquête sociale ou l’investigation d’orientation éducative. »

 Fiche 2

« Cette spécificité s’incarne dans le principe du débat contradictoire, dont les deux outils sont l’audience et l’investigation judiciaire. »

 « Elle a pour ambition, au-delà de la vérification du fondement même de l’intervention, de définir des axes d’action protectrice possibles et en ce sens conditionne l’efficacité de l’action éducative judiciaire à venir. »

 «  Dans sa mise en œuvre, l’investigation doit prendre en compte les dimensions spécifiques : l’opposition éventuelle de la famille à cette investigation, la nécessité de vérifier l’existence d’éléments de danger et de définir des pistes de travail possible qui seront d’autant plus efficaces qu’elles seront confrontées à la parole de la famille. »

 Fiche 3

 «  le nombre de signalements directs aux parquets soit réduit aux cas de gravité exceptionnelle de la situation. »

 « le critère de saisine directe du parquet étant la gravité de la situation et non l’urgence »

 Je vous mets en pièces jointes :

 -           l’ordonnance aux fins d’enquête sociale datée du 11 juin 2010 qui utilise bien le terme d’urgence comme motivation de la mesure

-          -              l’avis d’ouverture d’une procédure d’assistance éducative daté du 14 juin 2010 qui ne stipule rien de spécial

 

Ces deux mesures ont été prises sans audition préalable comme l’ordonne pourtant la loi et comme le souligne le Garde des Sceaux.

 

Il faut croire que dans le cas qui nous intéresse, rien n’a été respecté. Je me demande ce qui me vaut de régime de faveur.

 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 09:40

Avec l'hospitalisation d'office, vous m'avez fait mettre un genou à terre par vos mensonges, votre méchanceté, votre incompétance et vos préjugés.

 

Vous m'avez sali, trainé dans la boue, spolié de mes droits et fait souffrir mes enfants.

 

Blessé, meurtri, vous avez continué à m'asséner des coups violents et cruels en m'enlevant ma fille.

 

Détruit psychologiquement, cela a entrainé plusieurs problèmes de santé. Une dépression réactionnelle suite à 33 jours d'internement en psychiatrie, rupture du ligament croisé antérieur du genou et douleur méniscale ont eu raison de mon corps.

 

A cause de vos actes, j'ai du abandonner la course à pied et mon projet de marathon.

 

Dix huit mois de galère qui laisseront des traces mais ma force de caractère et mon amour pour mes enfants ont été plus forts que tous ces malheurs. Ils m'ont permit de me reconstruire et je retrouve mes sensations. Ceux d'un papa combatif, d'un homme droit et généreux qui n'a pour but que de rendre heureux son entourage.

 

Ces épreuves m'ont rendu plus fort, plus déterminé et plus intransigeant que jamais. On m'a fait payé des erreurs que je n'avais pas commises. Il est maintenant tant de régler les comptes.

 

Vous avez tous joué un rôle malsain dans cette mésaventure, vous avez tous un part de responsabilité dans le désastre qui est survenu dans ma vie et celle de mes enfants.

 

Moi, simple citoyen et justiciable, malgré vos préjugés et vos à prioris, j'ai des droits et je compte bien les faire respecter.

 

Vous avez fauté et je passerai dorénavant au crible tous vos faits et gestes.Alors ne franchissez plus la ligne légale.

 

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 16:01

Comme l'indique le titre de l'article, je cherche une personne, professionnelle ou non, qui souhaite mettre en page mon histoire.

Cette démarche n'a pas un objectif personnel lucratif mais à l'instar du blog je souhaiterais qu'un tel ouvrage puisse être d'intérêt public.

Ce que j'ai vécu n'aurait pas du arriver et je ne le souhaite à personne alors si mon expérience personnelle puisse au moins servir à ça, j'en serais ravi.

J'espère avoir le choix des propositions....

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 00:09

Je viens de lire cet article (http://www.suite101.fr/news/a-la-cour-dappel-de-nimes-les-magistrats-jouent-les-sherifs-a34167).

 

C'est assez encourageant et réconfortant que je ne sois pas le seul témoin des comportements inadaptés des magistrats.

 

Ce qui se passe à Nimes, ce passe également à Strasbourg et à Colmar, j'en ai fait les frais.

 

C'est la mise en lumière de ces agissements qui feront avancer les choses et redonner les lettres de noblesse à notre Justice pour que la France redevienne le pays des Droits de l'Homme ou du moins le pays où la justice est juste!!!

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