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  • : LE COMBAT POUR MES ENFANTS
  • : Le parcours semé d'obstacles d'un homme contre la machine judiciaire et pour laver l'honneur de ses enfants
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Initialement prévu pour dévoiler les dysfonctionnements judiciaires dont j'ai été la victime, ce blog a rapidement pris une autre orientation.


En effet, en deux ans et demi, j'ai réussi à me sortir d'une situation plus que délicate. J'ai injustement été interné en hôpital psychiatrique pendant 33 jours, j'ai perdu mes droits de "garde" concernant ma fille aînée et depuis je me bats pour que la vérité prenne enfin le dessus.

 

Avant d'arriver à mes derniers résultats positifs, j'ai malheureusement du essuyer plusieurs revers face aux magistrats. Mais grâce à ça, j'ai pris le temps et énormément de recul pour assurer moi même ma défense.

 

Il m' a fallu beaucoup de patience pour comprendre le système judiciaire en matière familiale et de parfaire mes connaissances sur ce sujet.

 

Maintenant, je désire mettre à profit mon parcours chaotique pour venir en aide aux parents qui se sentent démunis face à l'appareil judiciaire afin qu'ils ne soient plus dépouillés de leurs droits sans se défendre convenablement.

 

Je ne souhaite pas me mettre en porte à faux avec vos avocats mais, là aussi, je me suis rendu compte que ceux ci sont trop impliqués dans le système pour assurer une défense efficace.

 

Si vous regardez plus attentivement certains de mes articles, vous ne pourrez que remarquer mon passif très lourd et pourtant j'ai réussi à sortir la tête de l'eau et j'espère, dans un avenir proche, me réattribuer les droits que l'on m'a retirés injustement.

 

C'est l'illustration que rien n'est jamais perdu et que si l'on est bien accompagné, on peut se battre à armes égales mais pour ce faire, il faut accepter d'aller sur leur terrain judiciaire.




Pour une meilleure compréhension, il faut lire les articles "historique" et celui du 25 janvier 2012.

 

Vous pouvez aussi me rejoindre sur facebook: antz christophe


Petition

19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 12:25

En mon propre nom, j’ai l’honneur de demander l’annulation de l'arrêt de la Cour d’Appel Administrative de Nancy  n° 11NC01176  du 9 janvier 2012.

Rappel des faits

 

Le 16 janvier 2010, j’étais contraint de déposer plainte auprès de la brigade de gendarmerie de La Wantzenau dans le cadre d’un contexte familial très conflictuel.

 

En effet, le 15 janvier 2010, j’étais victime de coups de la part de Mme S. M-H.

 

Le 28 mars 2010, en soirée, j’étais victime d’un malaise peu de temps après avoir mangé des fruits.

 

La nuit du 28 au 29 mars, le docteur B. de SOS Médecins intervenait à mon domicile et préconisait une hospitalisation immédiate.

 

Le 29 mars 2010, à sa sortie de l’hôpital, je me présentais à la brigade de la gendarmerie de La Wantzenau pour déposer plainte pour suspicion d’empoisonnement dont je modérais mes propos en parlant d’intimidation.

 

J’ai déposé cette plainte après consultation de mon avocat et suite aux conseils du docteur Bel-Houari et surtout du fait du contexte familial extrêmement  conflictuel.

 

Par lettre du 14 mai 2010, Monsieur le Procureur de la République m’informait du classement sans suite de la plainte du 16 janvier 2010 dans les termes suivants :

 

« Je vous informe que j’ai décidé de classer sans suite votre plainte en l’état, car un rappel à la loi a été adressé à l’auteur et il a été suffisant pour faire cesser le trouble. »

 

Ce classement sans suite permet de constater que les faits ont bien été commis le 16 janvier 2010 par Mme S. M-H mais que le Procureur de la République a estimé qu’un rappel à la loi était suffisant pour faire cesser le trouble.

 

Fin mai 2010, j’ai contacté la gendarmerie de La Wantzenau pour connaître les suite de la plainte du 29 mars 2010, il a été convenu d’un rendez vous le 7 juin 2010.

 

A mon arrivée, je me suis fait signifier ma garde à vue pour des faits de dénonciation calomnieuse, procédure initiée par le procureur M.

 

Cette procédure déroge aux articles 40-2 du Code de Procédure Pénal, 226-10 et 226-11 du Code Pénal sachant qu’il n’y a jamais eu de classement sans suite de la part du Parquet de Strasbourg avant cette date et à fortiori,  je n’en ai jamais pu être avisé.

 

Dans cette procédure, le procureur M. a ordonné une expertise psychiatrique. Celle-ci a été faite par le Docteur M.

 

Suite à la réception de ce rapport, le Docteur W. a été requis dans le cadre du maintien de la garde à vue.

 

A 16h15, le Docteur W. rédigeait un certificat médical dans les termes suivants :

 

« Je soussigné, certifie avoir examiné ce jour à 16h15, Monsieur ANTZ Christophe né le 12 décembre 1970.

 

Le patient prétend avoir été empoisonné par sa belle mère.

 

Il présente une personnalité psychorigide avec une tendance à la persécution.

 

Il ne remet pas en question ses faits et gestes en particulier agressif à l’égard de sa belle-mère (aurait porté un coup de poing à un membre de sa belle-famille…).

 

Le comportement de ce patient pourrait présenter une dangerosité à l’égard des personnes remettant en question son autorité, un placement en milieu hospitalier, selon l’article 232-13-1 du Code de la Santé Publique, me semble souhaitable.

 

Il n’existe pas de lien de parenté entre le patient et moi-même. »

 

Ce dossier était transmis aux services de la Préfecture du Bas-Rhin.

 

Toujours, le 7 juin 2010, le Préfet du Bas-Rhin prenait un arrêté ordonnant mon hospitalisation d’office au centre hospitalier de Brumath en motivation sa décision de la façon suivante :

 

Considérant qu’il résulte du contenu du certificat médical du Docteur W., joint au présent arrêté et dont je m’approprie les termes, que les troubles mentaux présentés par l’intéressé nécessitent des soins ;, et compromettent la sûreté des personnes ou portes atteintes, de façon grave, à l’ordre public et rendent nécessaires son hospitalisation. »

 

J’ai donc été interné dans l’Etablissement Public de Santé d’Alsace du Nord de Brumath à compter du 7 juin 2010.

 

Dès le 11 juin 2010, le Docteur P. de l’EPSAN délivrait un certifiact de demande de levée d’hospitalisation d’office.

Néanmoins, cette hospitalisation va être maintenue jusqu’à ce que deux experts, à savoir le Docteur Z. (rapport médical du 29 juin 2010) et le Docteur M. (rapport d’expertise psychiatrique du 8 juillet 2010) prescrivent la levée de la mesure d’hospitalisation d’office.

 

Par arrêté, en date du 9 juillet 2010, Monsieur le Préfet du Bas-Rhin décidait de mettre fin à la mesure d’hospitalisation d’office me concernant de sorte que je puisse enfin sortir de l’hôpital après 33 jours d’internement.

 

Par requête du 6 juillet 2010, je saisissais le Tribunal Administratif de Strasbourg et sollicitais l’annulation de l’arrêté du 7 juin 2010 portant hospitalisation d’office.

 

Par jugement du 26 mai 2011, le Tribunal Administratif de Strasbourg rejetait cette requête en considérant que la décision litigieuse avait été prise sur la base du certificat médical émis par le Docteur W., lequel énoncerait de manière explicite :

« les circonstances de fait qui fondent son avis et son appréciation de la dangerosité de l’intéressé pour la sureté des personnes. »

Or, en juxtaposant le certificat de ce docteur et le paragraphe de l’arrêté du 7 juin 2010, on ne peut que constater la divergence des propos dont le Préfet du Bas-Rhin dit s’être approprié.

Les premiers juges ont donc entériné cette hospitalisation d’office décidé par une autorité administrative sans la moindre procédure contradictoire et en ayant, sûrement de façon involontaire, pris des propos de l’expertise du Docteur M. (sous le coup de l’article L.3213-1 du Code de la Santé Publique) au lieu de ceux exprimés sur le certificat médical du Docteur W.

 

Par requête du 18 juillet 2011, je saisissais la Cour d’Appel Administrative de Nancy et je sollicitais à nouveau l’annulation du jugement du Tribunal Administratif de Strasbourg n°1003246 du 26 mai 2011.

 

Malgré un argumentaire explicite sur l’erreur manifeste du Préfet de la République dans son appropriation de propos et malgré la dépose d’un mémoire en réplique du 6 octobre 2011, la Cour d’Appel Administrative a rejeté ma requête en date du 9 janvier 2012.

 

 

 

DISCUSSION

 

Le Conseil d’Etat n’aura aucun difficulté à annuler l’arrêt de la Cour d’Appel Administrative de Nancy du 26 mai compte tenu la violation grave de mes droits pour la période du 7 juin au 9 juillet 2010.

 

Sur la recevabilité

 

Le délai

 

La notification de la décision de la Cour d’Appel ayant été rendue le 9 janvier 2012, le délai initial étant de 2 mois, il est prorogé à la décision de ma demande d’aide juridictionnelle et le cas échéant à la décision du Président de la section du contentieux du Conseil d’Etat.

 

La notification de la décision du bureau d’aide juridictionnelle n° 1200634  datée du 4 avril 2012 et la décision du Président de la section du Conseil d’Etat datée du 1er juin 2012, le pourvoi devant le tribunal de céans reste recevable.

 

La présentation par le ministère d’un avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de Cassation

 

J’ai contacté plusieurs avocats près le Conseil d’Etat, peu m’ont répondu favorablement, à cause d’une charge trop importante de travail.

 

Seul Me T. m’a adressé un devis et des modalités de paiement mais malheureusement, je n’ai pas les moyens de m’en acquitter.

 

L’intérêt supérieur de la Justice

 

J’invoque à ce titre, l’article 6 al.1 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, en opposant la garantie de mon droit au simple fait que je n’ai pas les moyens financiers pour me payer les services d’un avocat près de la Conseil Etat.

 

Mais je souhaiterais davantage que mon dossier personnel puisse être examiné pour que pareilles mésaventures ne puissent plus arriver à d’autres personnes.

 

Sur la forme

 

Rapport circonstancié du Docteur W.

 

L’article 5 al.1 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme dispose :

 

« Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales :

 

(…)

 

e. s’il s’agit de la détention régulière (…) d’un aliéné (…). »

 

Au vu du certificat médical du Docteur W., aucun élément sérieux ne peut permettre de considérer que je sois considérer comme un aliéné.

 

Ce certificat déroge à tous les principes de droit en matière de rapport circonstancié. Il suffit de lire ce rapport pour constater les carences en la matière. Il n’y figure aucun détail sur les circonstances réelles de la garde à vue, sur mon état de santé notamment des constatations chiffrées, ….

 

Réquisition du Docteur W.

 

Les services de la Préfecture du Bas-Rhin ont commis une faute en ne vérifiant pas la légitimité du Docteur Wasser à rédiger ce certificat. Ils auraient ainsi pu remarquer que ce médecin avait été réquisitionné par le procureur à une fin de maintien de garde à vue et qu’il n’y a pas eu de deuxième réquisition pour l’établissement d’un certificat médical d’hospitalisation d’office.

 

Appropriation des propos

 

C’est de loin la faute la plus contestable qu’a commis le Préfet du Bas-Rhin, il suffit d’en reprendre les termes :

« Considérant qu’il en résulte du contenu du certificat médical du Docteur W., joint au présent arrêté et dont je m’approprie les termes, que les troubles mentaux présentés par l’intéressé nécessitent des soins, et compromettent la sûreté des personnes ou porte atteinte, de façon grave, à l’ordre public et rendent nécessaire son hospitalisation d’office. »

 

Ces termes ne correspondent pas du tout aux écrits du Docteur W. qui a utilisé très souvent le conditionnel et a jugé l’hospitalisation souhaitable et non nécessaire.

 

La présence du rapport du Docteur M.

 

Le rapport psychiatrique du Docteur M. a eu une importance primordiale dans la décision du Préfet et on peut le remarquer dans la rédaction même de l’arrêté portant hospitalisation d’office. En effet, le Préfet y a consacré un paragraphe qu’il a pris le soin de mettre en avant par le caractère « gras » de l’écriture.

 

Or le Docteur M. officiant à l’EPSAN de Brumath, établissement qui m’a accueilli le 7 juin 2010, officiait dans cet établissement et donc ne pouvait être le rédacteur du certificat médical originel pour l’hospitalisation d’office.

 

En agissant de la sorte, le Préfet a incidemment violé l’article L.3213-1 du Code de la Santé Publique.

.

 

Sur le fond

 

 La notion de danger

 

Force est de constater que le Préfet a fait une erreur d’appréciation du danger en ne se basant exclusivement sur le rapport d’expertise psychiatrique du Docteur M. Or en matière judiciaire, l’expertise ne peut se substituer à l’absence de faits.

 

En l’occurrence, le Préfet aurait ainsi pu constater que les poursuites à mon encontre relevaient de dénonciation calomnieuse et non de faits de violences ou de troubles à l’ordre public.

 

Le caractère circonstancié du certificat médical du Docteur W.

 

Même si l’on suppose que ce certificat puisse être considéré comme valable, nonoobstant le fait que ce médecin n’ait pas été réquisitionné à cet effet, il suffit de lire les propos rédigés pour comprendre qu’il déroge à tous les principes de bon sens.

 

Il ne revient sur les motifs de la garde à vue, sur mon état de santé physique, sur mon comportement et encore moins sur mes intentions.

 

La nécessité de l’hospitalisation d’office

 

Le docteur W. utilise le conditionnel en relatant les faits que j’aurais commis et de surcroit il estime l’hospitalisation souhaitable et non nécessaire.

 

 

CONCLUSIONS

 

                Dans ce dossier qui de prime abord paraît très complexe, l’erreur grossière commise par le Préfet du Bas-Rhin est pourtant plus qu’évidente. A sa décharge, je peux comprendre que le Préfet ait pu être mis dans une position délicate du fait des nombreuses erreurs faites en amont par le Procureur de la République

 

                Par contre cela n’enlève en rien la responsabilité du Préfet pour ses manquements en matière de procédure d’hospitalisation d’office qui ont entraînés une privation de mes libertés.

 

 

 

PAR CES MOTIFS

PLAISE A LA COUR

 

 

CASSER ET ANNULER l’arrêt de la Cour d’Appel Administrative de Nancy n° 11NC01176 du 9 janvier 2012 avec toutes ces conséquences de droits

 

CONDAMNER L’Etat à me payer la somme de 3000 euros au titre de l’article L.761-1 du Code de Justice Administrative

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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 10:47

Je vous mets ci dessous le courrier que j'ai envoyé au juge des enfants concernant la procédure d'assistance éducative qui avait été ouverte en mai 2012 concernant mes deux enfants cadets.

Le courrier lui suffit à lui-même, je ne ferai donc pas de commentaire complémentaire mais je vous exprime quand même mon exaspération vis à vis de ces magistrats qui méconnaissent la loi et qui font, par leur ignorance, souffrir nos enfants.

 

 

 

                                                                                  Tribunal pour Enfants

                                                                                     Greffe du Juge Schleef       

                                                                                       BP 1030        

                                                                                     67070 STRASBOURG Cedex

 

 

           

            Objet         : Demande d’ordonnance de non lieu d’assistance éducative

            

 

 

            Par la présente, nous accusons réception des convocations datées du 29 juin 2012. Par contre nous ne comprenons, toujours pas, votre obstination a vouloir faire subir un tel traumatisme à nos enfants.

 

            En effet, ils sont malheureusement bien conscients de ce que peut constituer, comme danger, une convocation chez le juge des enfants.

 

            Il y a un peu plus de deux ans, ils vivaient paisiblement avec leur sœur aînée Marine. Or dans des circonstances similaires, une ouverture d’une assistance éducative avait été prononcée en juin 2010 pour Marine.

 

            Vous allez répéter les mêmes erreurs que le juge en charge du dossier de la fille aînée de Mr ANTZ, vices de procédure dans la saisine du juge des enfants, non respect de l’obligation de motivation d’une décision judiciaire (ouverture de l’assistance éducative) et non respect du dispositif de protection de l’enfance dont la responsabilité de recueil, de l’évaluation et du traitement des situations préoccupantes incombent au président du Conseil Général du Bas-Rhin.

 

            En consultant le dossier concernant Margaux et Corentin, nous avons  pu remarquer qu’une seule pièce figurait au dossier : un courrier de Mme S. qui est la grand-mère de nos enfants.

 

            Cette procédure qui vient de s’ouvrir est déjà frappée de vices de procédures ce qui a valu la récusation du juge PICARD mais de plus elle n’est aucunement du ressort du juge des enfants sachant qu’aucune mesure administrative n’était en cours et que de surcroît, il appartenait à Mme S. de s’adresser au juge aux affaires familiales.

 

            En ouvrant cette procédure, le juge PICARD s’est rendu coupable de la violation de l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme concernant le droit au respect de la vie privée et familiale et de la loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance concernant le fait qu’il puisse s’auto saisir sur simple courrier d’une tierce personne sans en exprimer clairement l’extrême gravité du danger.

 

            C’est à cause de ces constatations que je (Mr ANTZ) vais proposer un débat sur les carences du dispositif de protection de l’enfance dans le Bas Rhin en invitant un duo parlementaire, le président du Conseil Général ainsi qu’un représentant de magistrats. Cette initiative récente a déjà obtenu l’accord d’un sénateur bas-rhinois et j’ai bon espoir que les autres nous rejoindront pour un entretien en septembre 2012.

 

            Par ailleurs, avec l’aide de mon avocat, nous déposerons prochainement une assignation de l’Etat pour faute lourde. La jurisprudence ayant déjà entériné le fait que la multiplication de  « petites » fautes des services de l’Etat constitue une faute lourde, nous mettrons en avant toutes les irrégularités commises depuis juin 2010 et notamment ces deux procédures d’assistance  éducative concernant d’une part Marine et d’autre part Margaux et Corentin.

 

            Vous avez le pouvoir d’arrêter immédiatement cette procédure avant que Margaux et Corentin ne puissent en être affectés mais nous dirions  même que vous en avez le devoir.

 

            Je (Mr ANTZ) reste néanmoins à votre disposition pour une audience préliminaire et nous nous rendrons à la convocation si vous vous obstinez à vouloir mener cette procédure à terme sachant qu’un appel entraînera son annulation mais nous nous refusons d’y emmener nos enfants afin de les protéger.

 

            Nous demanderons l’aide à la cellule du Conseil Général en charge de la protection de l’enfance dont vous avez déjà un rapport daté du 24 mai 2012 notifiant l’absence de danger pour éviter que nos enfants soient exposés à la souffrance que vous vous apprêtez à leur faire subir.

 

            Nous avons également pris attache auprès de leurs enseignants, de leur médecin, de personnes de notre entourage et des réseaux sociaux afin qu’ils puissent être témoins de cette immixtion dans notre vie de famille.

 

            Nous vous demandons donc, une ultime fois, de mettre en terme à cette mesure d’assistance éducative sachant que vous avez le pouvoir de le faire et vous avez également le rapport du Conseil Général sachant que vous avez héritez de ce dossier suite à une demande de récusation justifiée et qui évoquait déjà les vices de procédure et le caractère abusif de celle-ci."

 

 

 

 

 

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 10:37

Je vois de plus en plus de mini groupes pululer sur les réseaux sociaux. Si dans un premier temps, j'ai adhéré à ce genre de démarche, avec le temps, je doute de leurs efficacités et de leurs intérêts.

Comme dans chaque domaine, il ne suffit pas d'aboyer pour faire avancer les choses. Avant d'agir, il faut avant tout comprendre "l'adversaire" auquel on est confronté.

J'ai pris le temps de me documenter et d'observer ce qui me permet dorénavant de penser qu'il ne faille pas "s'attaquer" à l'autre parent mais au système judiciaire qui régule les relations familiales.

Pour être efficace, il faut comprendre tous les rouages de ce rouleau compresseur que représente un système parfois inhumain et trop souvent injuste.

Pour ce faire, je vous rappelle l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'Homme: 

 

« Droit au respect de la vie privée et familiale

  1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
  2. Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. »

En France, le législateur a déjà fait un travail assez vaste et sommes toutes assez complet afin de préserver le droit de chacun que ce soit parent ou enfants.

Mais dans ce dédale de lois, les personnes qui y sont confrontées, sont souvent perdues et démunies par ceux qui les "manipulent".

On peut considérer le package de lois comme un règle du jeu et à ce titre vous trouverez des champions, des joueurs communs et des tricheurs.

L'actualité du Tour de France me donne l'opportunité de faire un parallèle que j'espère ne pas être trop culotté. Hier, un coureur a été mis en garde à vue pour suspicion de dopage mais on le sait très bien que le dopage était légion et même fortement conseilllé il y a quelques années.

Depuis peu, certains ont crié à l'injustice et d'autres ont essayé de comprendre et ont crée des appareils pour combattre ce fléau.

C'est dans cette même optique que j'aimerais que soit débattu de l'intérêt d'un organisme "anti-dopage" indépendant de la justice pour être plus juste et efficace.

A la rentrée, je créerait un groupe sur facebook afin de faire un travail dans ce sens. J'ai déjà obtenu la certitude de pouvoir rencontrer un sénateur et j'espère qu'un député répondra également à l'appel pour former un duo parlementaire.

Il serait également appréciable que le président du Conseil Général ainsi qu'un réprésentant du Ministère Public puissent participer à ce tour de table.

Je vous tiendrais au courant de l'évolution de cette démarche et si vous souhaitez d'ores et déjà partager vos impressions et vos idées sur le sujet, vous pouvez me rejoindre sur facebook. 

Dans ce futur groupe, je ne ferai pas de "démarchage" mais il vous suffira de me lancer une invitation.

 

 

 

 

 

 


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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 15:54

Je pense que ce délai peut être homologué dans le livre Guinness des Records car pour une triple plainte déposée le 5 et le 6 juin 2012, le Parquet de Strasbourg a classé sans suite le 25 juin 2012 soit exactement 13 jours ouvrés pour mener une triple enquête en auditionnant tous les protagonistes.

Voici le contenu du classement sans suite:

 

Cour d'Appel de Colnar

Tribunal de Grande Instance de Strasbourg

Parquet du procureur de la République

 

Madame ANTZ Christophe

19 rue des Noyers

67670 WALTENHEIM SUR ZORN

PV n° 12/13585 en date du 5 juin 2012 de la Communauté de Brigades de Truchtersheim

contre 

...

Faits:Atteinte à lavie privée, violation de domicile, Abus d'autorité.

Avis de classement

L'examen de cette procédure ne justifie pas de poursuite pénale au motif que :

les faits ou les circonstances des faits dout vous vous êtes plaint n'ont pu être clairement établis par

l'enquête. Les preuves ne sont donc pas suffisantes pour que l'affaire soit jugée par un tribunal.

...

Fait au parquet, le 25 juin 2012

Le procureur de la République

PC:

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 07:22
DATE FAITS  VIOLATION
29 mars 2010 Je dépose plainte pour suspicion d'empoisonnement mais je modère mes propos en disant qu'il s'agit, Art. 434-4 du CP al.2°
  pour moi, d'un acte d'intimidation  
  Je remets au gendarme de La Wantzenau une partie des fruits suspects  
     
7 juin 2010 Je me rends à la gendarmerie de La Wantzenau suite a une rendez vous fixé avec la gendarme en charge  
  du dossier de ma plainte.  
  A mon arrivée, je me vois signifier ma garde à vue afin de subir une expertise psychiatrique dans le cadre  
  des poursuites de dénonciation calomnieuse engagées par le procureur Massa.   
  - je n'ai jamais été avisé du classement sans suite de ma plainte du 29 mars 2010 Art.40-2 du CPP
  - finalement la plainte n'avait pas été classée sans suite avant cette date Art.226-10, 226-11 du CP
  - je n'ai jamais eu de convation ou de demande de passer une expertise vant cette date, la garde à vue  Art.62-2 du CPP
    n'était donc pas l'unique moyen de permettre l'exécution des investigations Art.263 du CPC
  - l'expertise a été faite par le Dr M. mais je n'ai jamais pu lire le rapport et ainsi faire valoir le principe Art. 6-1 CEDH
    du contradictoire.  
  - réquisition du Dr W. dans le cadre d'un examen de garde à vue. Il n'a jamais été réquistionner pour  
    pour émettre un certificat en vue d'une hospitalisation d'office  
  - transport à l'hôpital EPSAN de Brumath sans présence des forces de l'ordre  
     
9 juin 2010 Saisine directe du juge des enfants par le procureur en l'absence d'élément d'ectrême gravité Art. 226-2-1, 226-3 CASF
     
9 juin 2010 Enlèvement de ma fille Art.224-1 du CP
     
14 juin 2010 Ouverture d'une procédure d'assistance éducative avec absence de motivation Conseil constitutionnel
    3 nov. 1977, n° 77-101
     
9 juillet 2010 Dépôt de plainte pour non représentation d'enfant qui durera du 9 juin au 1er août 2010 Art. 227-5,227-7 
  classée sans suite pour motif que les faits dont je me suis plaints ne sont pas punis par la loi et 227-9 CP
     
septembre 2010- Mesure d'assistance éducative en milieu ouvert non suivi par le juge des enfants  
mai 2012 - absence d'évalutaion initiale principes  loi du 5 mars 
  - absence du projet pour l'enfant 2007 protection de 
    l'enfance
  - absence de notification de dépôt de rapports par l'organisme en charge de l'AEMO Arrêt Cour Appel Lyon
    26 juillet 200
     
  - absence de décision suite à une non-représentation d'enfant du 23 avril au 30 mai 2011  
     
  - absence d'audition des parents avant l'audience de placement provisoire loi du 5 mars 2007
     
19 mai 2011 Dépôt de plainte pour non représentation d'enfant qui durera du 23 avril au 30 mai 2011 Art. 227-5,227-7 
  classée sans suite pour motif que les faits ont été régularisés et 227-9 CP
     
30 mai 2011 Placement provisoire de ma fille chez sa mère et droit de viste et d'hébergement pour le père  
  Refus de remplacement de la personne en charge de l'AEMO dont la partialté avait été mise en cause par  
  une tierce personne (expert psychologique)  
     
27 juin 2011 Ordonnace de droit supprimant mes droits de visite et d'hébergement suite à un rapport de l'organisme   
  en charge de de l'AEMO   
  Rapport dont je n'ai pas eu communication et dont je n'ai pu faire valoir mon droit au contradictoire Art. 6-1 CEDH
     
26 avril 2012 Dépôt d'acte de demande de récusation du juge des enfants  
     
29 mai 2012 Rejet de ma demande de récusation par la Cour d'Appel de Colmar qui note toutefois des maladresses  
     
30 mai 2012 Audience juge des enfants qui maintien le placement et la mesure d'AEMO dans les mêmes conditions  
  Absence du dépôt du rapport de fin de mesure au père avant communication au Conseil Général loi du 5 mars 2007
  Impossibilité de faire valoir mon droit au contradictoire Art. 6-1 CEDH
  Pas de certitude que ce rapport ait été réellement transmis au Conseil Général  
     
30 mai 2012 Ouverture d'une procédure d'assistance éducative avec absence de motivation pour mes deux  autres  Conseil constitutionnel
  enfants par le même juge 3 nov. 1977, n° 77-101
     
5 juin 2012 Dépôt d'acte de demande de récusation du juge des enfants car l'ouverture de la mesure judiciaire était  
  sans fondement sachant qu'un rapport de l'organisme en charge d'une information d'orientation éducative  
  avait conclu au fait qu'une mesure n'était pas justifiée pour mes enfants en date de novembre 2011  
     
  De plus, le juge a dérogé à son obligation de se renseigner auprès du Conseil Général pour voir s'ils avaient  
  des éléments au sujet de mes deux enfants cadets. S'il l'avait fait, le Conseil Général aurait pu lui   
  transmettre le rapport du 24 mai 2012 stipulant l'ansence de danger et qu'il n'y avait aucune procédure   
  administrative en cours.  
     
12 juin 2012 Ordonnance du président du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg désignant un nouveau juge des   
  des enfants suite à ma demande de récusation  
     
28 juin 2012 Réception des convocations des parents et des enfants devant le juge des enfants  
  Nonobstant tout l'argumentaire figurant sur la demande de récusation basé sur des vices de forme et sur   
  rapport du Conseil Général, le juge maintien la procédure en nous convoquant 6 jours avant l'audience.  
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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 13:36

Je souhaite effectivement que nous puissions nous rencontrer afin d’évoquer un sujet dont malheureusement l’actualité des faits divers égraine notre quotidien de façon bien dramatique.

 

Je prends référence sur l’affaire de la petite Marina dont les parents risquent une peine de prison de 30 ans et dont l’association « la voix de l’enfant » va déposer plainte contre X par le biais de Me SPIENER pour confronter les responsables (services sociaux, procureurs, magistrats, Conseil Général,…).

 

J’ai eu l’expérience totale inverse de celle citée ci-dessus mais elle démontre bien les carences du dispositif de protection de l’enfance. En tant que parlementaires, vous devriez être choqués de ce qui se passe pour nos enfants sachant que votre travail  a été merveilleux en la promulgation de cette loi.

 

Vous devriez prendre conscience et communiquer sur le sujet sachant que les acteurs de ce dispositif ne se conforment que très rarement aux principes de la loi.

 

Dans mon cas personnel , les mesures qui ont été prises ont bafoué cette loi de A à Z. Nous ne pouvons tolérer qu’il y ait de telle écart de conduite qui mettent nos enfants en danger soit par laxisme ou par excès de zèle.

 

En me rapprochant de vous, je ne souhaite aucune aide ou aucun soutien pour régler mon dossier, je souhaite, au contraire, faire bénéficier d’autres parents de mes connaissances et de mon expérience à ce sujet.

 

J’ai crée un blog en 2010 qui dans un premier temps avait vocation à crier, haut et fort, mon désarroi face à l’injustice mais au fil du temps, au fil des discussions que j’ai pu avoir avec d’autres parents, au fil d’une documentation qui ne se limitait pas à éplucher les faits divers, je me suis rendu compte que mon combat pouvait et devait servir afin que d’autres parents et surtout d’autres enfants ne soient pas écrasés par l’appareil judiciaire.

 

En tant que député et sénateur d’Alsace, où siège la Cour Européenne des Droits de l’Homme, il serait très opportun que vous preniez ce dossiez à bras le corps.

 

En tant que membre de l’opposition, vous avez le devoir de mettre en lumière les difficultés qu’à l’Administration Publique, dans son ensemble, à appliquer ou faire appliquer une loi primordiale pour la protection de nos enfants.

 

Il me semble que cette loi fut une réponse nécessaire à la catastrophe de l’affaire d’Outreau mais visiblement les acteurs du dispositif n’en ont pas retenu la leçon.

 

Pour finir, la simple application de la loi permettrait de désengorger le dispositif judiciaire de nombreux dossiers qui n’en méritaient pas l’attention ce qui permettrait à ces mêmes personnes de s’occuper d’enfants qui sont réellement en danger.

 

Je me mets à votre entière disposition pour partager avec vous tous mes informations, mes connaissances et mon expérience sur le sujet.

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 21:46

e vous ai déposé un dossier, il y a une dizaine de jours concernant ma fille Marine malheureusement resté sans réponse.

Je vous demanderais de bien vouloir regarder le lien ci dessous qui reprend une interview d'une responsable de "La voix de l'Enfance" concernant l'affaire atroce de Marina.
A écouter avec attention et on peut faire après fait le parallèle avec mon dossier. Vous pourrez constater les réactions antipodiques des acteurs en charges de la protection de l'enfance!!!!
http://www.bfmtv.com/marina-aurait-pu-etre-sauvee-selon-plusieurs-actu29761.html



Je vous fais part également part du mail que je viens de leur envoyer:


Je trouve complètement lamentable et honteux ce qui s'est passé pour la pauvre petite Marina pour le pays des Droits de l'Homme. J'espère que la justice aura au moins le courage de mettre les coupables de l'Administration devant leurs responsabilités. Je pense être légitime pour témoigner car pour ma part, j'ai subi une réaction aussi extrême mais dans l'autre sens. Vous pouvez consulter mon blog (antzchris.over-blog.com) pour vous faire une idée du grand écart des décisions des parquets, magistrats et travailleurs sociaux. 

Il serait aussi utile de témoigner des excès de la Justice dans les deux sens. Je conçois que le caractère dramatique est le point de départ pour que les médias se saisissent du dossier mais combien de pauvres enfants sont obligés de souffrir en silence sous le jougs des acteurs en charge de la protection de l'enfance.

J'espère que vous prendrez le temps de consulter mon blog que j'ai conçu pour aider les parents qui sont "écrasés" par l'appareil judiciaire. J'ai pris énormément de temps à m'instruire et à me documenter sur la loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l'enfance.

Pourriez vous me dire également si vous avez des délégués régionaux?

Pour sauver mes trois enfants de la misérable vie qu'on leur fait vivre, un appui de votre association pourrait être un atout primordial.

J'espère que vous consulterez également mon blog et que vous agirez en conséquence car comme je l'ai dit à une de vos collaboratrices: la situation de Marine dépend entièrement de la responsabilité du CG67.

Pour ma part, je pense que vous n'êtes pas coupable de cette situation extrême mais que les acteurs qui sont sous votre responsabilités (travailleurs sociaux, procureur et juges) ont fait n'importe quoi dans votre dos. Sachez que la loi du 5 mars 2007 a été bafouée de A à Z !!!
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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 22:17

Promotion pour l'album "2011" :

Ordonnance 1 Plainte 2009 Convocation JDL Certicat Wasser

Consulter l'album "2011".

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 22:17

Promotion pour l'album "2010" :

24/12/2010 24/12/2010 24/12/2010 17/12/2010

Consulter l'album "2010".

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 15:50

Tonic-Magazine-p.16-copie-2.jpg

 

Tonic-Magazine-p.17.jpg

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